Une rentrée décalée avec l’EPF - Témoignage de Marc-Andréa Dehais

Mis à jour le 16/01/2024
Faire le bon choix post-bac n’est pas toujours évident et il peut être nécessaire de se réorienter en cours d’année. C’est pourquoi l’EPF Engineering School propose une rentrée décalée en première année, qui permet aux étudiants de changer de cursus sans perdre de temps. Explications avec Marc-Andréa Dehais, élève-ingénieur en 5e année sur le campus de Paris-Cachan (94).
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Campus de Montpellier

La voie de Marc-Andréa s’annonçait toute tracée : médecine. Dès la sortie du lycée, il intègre donc une faculté de médecine en région parisienne. Mais au bout d’un semestre, le constat est sans appel : l’esprit de compétition domine et Marc-Andréa ne souhaite pas poursuivre dans cette direction. Il profite d’une conférence donnée par les équipes de l’EPF pour découvrir les métiers de l’ingénierie et décide de candidater en déposant un dossier d’inscription. « J’ai été convaincu par l’idée de rejoindre une filière ingénieur sans perdre de temps et de m’ouvrir davantage au monde de l’entreprise. J’ai ainsi pu intégrer l’école dès le mois de mars », explique l’étudiant.

 

Une école d’ingénieurs généraliste avec beaucoup d’opportunités

À l’issue d’un entretien individuel, Marc-Andréa est retenu et démarre sa première année sur le campus de Montpellier. Il découvre la polyvalence du cursus qui lui permet de « ne pas choisir ». Mécanique, consulting, conseil, recherche, numérique… Il apprécie de pouvoir explorer ces secteurs et affiner progressivement son choix. « C’est la force de l’EPF : son caractère généraliste. J’ai eu 5 ans pour réfléchir », résume-t-il.

La première année est dense. Il rattrape une année en un semestre. « C’est très bien pensé. Les enseignements sont adaptés et l’accompagnement des professeurs important. Nous étions une petite promo de 25 élèves et avons noué des liens très forts », se rappelle Marc-Andréa. Il se souvient notamment des cours de physique et de mathématiques abstraits, « pilotés par deux professeurs fantastiques qui ont réussi à rendre ces matières compréhensibles, intéressantes et même ludiques ! ». Il est également séduit par le campus de Montpellier où il décide de poursuivre sa scolarité.

 

S’orienter vers la cybersécurité

« La deuxième année a été plus difficile, le rythme s’est accéléré. Le Covid est arrivé et j’ai eu du mal à gérer la distance », reconnaît Marc-Andréa. Il effectue un stage ouvrier puis un stage de découverte dans le secteur humanitaire. Les troisième et quatrième années lui permettent de travailler davantage en « mode projet » puis de choisir une majeure et d’effectuer un stage en cybersécurité. Marc-Andréa opte donc pour le secteur du numérique. « Cela ouvre beaucoup de portes et d’opportunités. À nouveau, j’ai envie de garder une marge de manœuvre ».

Ce choix s’accompagne d’un changement de campus. Direction Cachan en région parisienne. Un site plus grand et particulièrement bien équipé, notamment pour la filière numérique. Marc-Andréa est actuellement en cinquième année et est en pleine recherche de stage. Il souhaite poursuivre dans la cybersécurité à l’international. « Je pense me diriger vers le développement, la programmation ou le consulting », précise-t-il. À nouveau, tout est possible…

 

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